"Madame. Je suis en train de réaliser la tâche que vous m'avez confiée : garder ma cage 4 jours. Pour votre plaisir et amusement, je me suis consigné un journal que je vous livre ici":
Lundi 8h: J'ai mis la cage de chasteté et beaucoup de choses se bousculent dans ma tète. Est ce que je vais tenir ? Quelles vont être mes sensations ? Etc... 9h45: impossible de ne pas penser à ma cage. Elle me rappelle à ma condition, je pense à vous, maîtresse, qui devez vous amuser de la situation. Je suis content si cela peut vous plaire 10h54: mon clito se coince dans ma cage dès que je bouge, faut que j'essaie d'aller au toilettes pour arranger ca. J'évite l'urinoir, je ne sais comment cette cage va se comporter lorsque j'urinerai. A l'abri des regards, je me déshabille, mes couilles sont chaudes et j'ai envie de me caresser. Je sens mon sexe se tendre dans la cage sans succès 13h: l'excitation monte encore un peu plus, je suis retourné aux toilettes me caresser. Mon sexe mouille, ça rend la zone vraiment agréable à caresser. Je regarde une BD de Xavier Duvet. Je m'imagine être le protagoniste de la BD. Mes doigts se glissent dans mon cul qui avale littéralement mes doigts.... 17h: impossible de me concentrer sur mon job. Dès que je bouge, je sens la cage me serrer et appuyer sur mon sexe. La cage est très chaude et me donne furieusement envie de me caresser mais je ne peux pas. Je me caresse autour de la cage.... 22h: j'ai réussi à penser à autre chose en regardant un film à la télé ce soir. Je sens que la nuit va être longue...
Mardi: 6h: j'ai passé une très mauvaise nuit, réveillé par la cage à chaque fois que je me retournais. Cette gêne m'a fait repenser à vous, Madame. Dans mes rêves, vous vous amusiez de la situation. Je me suis réveillé très excité et je suis allé voir sur Amazon ce que je pouvais acheter pour vous plaire et prolonger ma sissification. Je suis tombé sur des tatouages éphémères (j'en mettrai un pour vous vendredi) et sur un gode vibrant commandable à distance. J'adore l'idée. Je vous le montrerai si je l'ai reçu à temps 10h: je commence à prendre l'habitude de ma cage, elle me gêne moins et j'y pense moins aussi. Ça devient une part intégrante de ma tenue, normale. Bien sûr, j'ai des moments d'excitation lorsque je la sens, mais cela s'espace. 14h: je suis allé faire des courses au centre commercial. Je pouvais sentir ma cage frotter contre mes jambes et mon pantalon alors que je marchais, c'était plutôt agréable 16h: une nouvelle excitation monte en moi, ca ne m'était pas arrivé de la journée. je décide de me caresser la cage aux toilettes en regardant quelques pages d'une BD de Xavier Duvet. L'excitation monte en flèche. J'aimerais avoir un gode pour pouvoir me l'enfourner et prendre un peu de plaisir tout de même, mais je n'ai rien... 18h: mon excitation diminue à nouveau... l'idée de passer une nouvelle nuit avec ma cage à tendance à me calmer... on va voir ce que ça donne.
Mercredi:
7h: j'ai mieux dormi. La cage m'a moins gêné, mais au réveil, je me met à rêver de godes... Je vais devoir prendre une douche pour calmer tout ça.
Aujourd'hui, je vais devoir beaucoup marcher en ville, et j'ai une réunion importante... J'espère que la cage ne va pas trop me gêner pour ça. Mon sexe est déjà chaud dans la cage. La douche ne le refroidit que trop peu
7h45: J'ai un peu de temps avant de devoir partir. J'en profite pour aller sur des sites pornos, à la recherche de dominatrices qui soumettent leur sissy. Les premières images arrivent et je sens instantanément la pression augmenter dans ma cage, plutôt douloureux, mais cela ne calme pas mon érection grandissante. A l'écran, je vois cette dominatrice se faire lécher la chatte par sa soubrette prise dans une cage, tout comme moi. Je m'imagine avec Madame dans cette situation... ce serait tellement bon ! Avec un peu de lubrifiant, je caresse le petit bout de chair de mon clito qui dépasse de la cage. Je ne pourrais pas en avoir plus. A l'écran, la dominatrice prend sa soubrette comme une chienne alors que mes doigts ont légèrement glissé vers mon cul. J'ai maintenant, plusieurs doigts dans le cul et l'autre main cherchant désespérément à me donner du plaisir à travers la cage, mais je dois bien admettre que le gros de mon plaisir vient de mon arrière train.
8h45: Assez de titillage pour aujourd'hui, je pars pour le travail.
11h: le travail m'occupe beaucoup donc j'arrive à ne pas trop penser à la cage. Il me faut pourtant changer régulièrement de position car je sens que des bouts de peau ont tendance à se coincer et me rappeler que mon sexe appartient à Madame.
13h30: Fin de la pause repas. Avant de retourner au travail, je dois passer aux toilettes. En arrivant dans les toilettes, celles-ci sont prises et il ne reste que les urinoirs. Pas le choix, il faut que j'y aille. J'essaie de me faire le plus discret possible en me mettant dans un angle, car je sais que sortir la cage sans défaire complètement mon pantalon va être compliqué. En me tortillant un peu, j'arrive finalement à sortir mon petit clito pour me soulager. J'espère que personne ne me voit. Je préfère ne pas me retourner pour éviter d'avoir à affronter une situation difficile...
Petit détail honteux: Dans l'urinoir, pas de papier toilette pour essuyer mon sexe en cage, je fais de mon mieux pour limiter le risque de tache sur le pantalon (je n'ai pas de slip sous le pantalon)
14h: Cet après midi, je dois beaucoup marcher. Comme je le craignais, je sens l'extrémité de mon sexe frotter contre la toile de mon jean. Après quelques minutes de marche, celà commence à être douloureux. La journée va être longue....
14h30: Je découvre avec effroi que on sexe a relaché quelques gouttes d'urine comme je le craignais, faisant apparaitre une tache sur le pantalon, pile à l'endroit de la grosseur due à la cage, cela va vraiment être compliqué à cacher. J'essaie de faire au mieux et laisser au maximum mes mains devant pour limiter le risque d'être découvert.
17h: Beaucoup de déplacements....Les frottements sont maintenant vraiment douloureux. J'imagine Madame se réjouir d'une telle situation si elle était là. Elle s'amuserait sans doute à attirer l'attention sur mon pantalon, de manière anodine et je serai sans doute en pleine panique.
18h: Notification Amazon: Le gode anal télécommandé peut être retiré. Cette annonce me fait monter en moi une réelle excitation: J'ai vraiment hâte de l'essayer.
20h: Je suis arrivé chez moi et j'ai récupéré le fameux paquet. L'engin est beau et m'excite. Je télécharge l'application sur mon téléphone, je ne peux plus attendre et je l'essaie. C'est assez compliqué à mettre par-dessus la cage de chasteté, mais j'y arrive finalement. Mes couilles sont encore plus serrées qu'elles ne l'étaient déjà. j'enfourne le gode, il rentre comme dans du beurre. La télécommande depuis le téléphone fonctionne très bien. Le gode fait un peu de bruit, mais les fonctionnalités sont vraiment sympa. Il y a même un mode dans lequel le gode peut être géré par un téléphone distant avec la caméra de mon téléphone allumé ! Ça me donne des idées....
Je met une vidéo de sissy training pour me mettre en condition. Dans cette posture, l'excitation monte en flèche ! Je sens le gode me pilonner le fondement en rythme, mon sexe commence à mouiller beaucoup. Le gode va toujours plus profond, les images défilent devant mes yeux: plusieurs dominatrices s'occupent de l'arrière train d'une belle sissy qui gémit de plaisir... Mmm, le désir monte vraiment beaucoup mais je ne crois pas avoir été autorisé à jouir par Madame et si je pose la question, je crois déjà connaître la réponse alors je m'abstiens de la poser. Je décide de tout arrêter. Mon sexe emprisonné vibre de désir... Un sentiment de frustration énorme monte... La clé n'est pas loin, Madame n'est pas là... Non, il faut que je résiste, je me suis engagé à le faire.
22h: Je prends une nouvelle douche et au lit
Jeudi:
7h: L'endormissement d'hier a été difficile mais j'y suis finalement arrivé. Il va falloir que j'apprenne à gérer ce sentiment de frustration. Au réveil ce matin, je vois le gode télécommandé juste devant mes yeux. Ça doit être un signe: qu'est ce que ça donne si je le mets en marche alors que je l'ai dans la bouche ? Il faut que j'essaie. Je sens le gode faire des va et vient dans ma gorge. J'essaie de me concentrer pour ne pas avoir de haut-le-cœur. Il faut vraiment que je progresse dans ce domaine pour plaire à Madame.
10h: Je me rends compte que je m'habitue de mieux en mieux à la gène de la cage. Je ne peux pas dire que j'aime ça. J'aimerais me toucher librement, bien sûr, mais le sentiment de plaire à Madame en le faisant m'aide beaucoup. Je la vois bientôt (demain), j'espère qu'elle sera contente de mes efforts pour lui plaire. J'ai failli mettre une tenue féminine sous mes vêtements, mais je préfère garder tout propre pour le rendez vous de demain.
à suivre...
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