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Photo du rédacteurMadame de B

Frottman

Je m’appelle Fredéric. J’ai quinze ans. Je te laisse imaginer mon imaginaire liquide, lorsque je croise une jolie femme. Du plus loin que je me souvienne, les femmes, mûres j’entends, m’ont toujours fasciné. J’aime leur aura rassurante, parfois stricte, retenue, maîtrisée… L’expérience qu’elles ont. Et dont je manque cruellement. Je rêve souvent qu’une femme m’empoigne et m’impose ses désirs, m’objettise, m’apprenne tout. Sans me demander mon avis. C’est un fantasme récurent qui me rend complètement obsédé.


En parlant d’obsession, aujourd’hui c’est le jour de la semaine où je dors chez mon ami Nico. Et c’est le meilleur jour de la semaine. Vous savez pourquoi ? Parce que Nico a une mère très sexy et très douce… Qui alimente la plupart de mes branlettes. Elle a cette façon de m’accueillir, à chaque fois… Avec un sourire un peu énigmatique. Et ses tenues… Toujours vêtue d’un vêtement en cuir. Un pantalon moulant, une jupe, un top… Une fois, alors que j’arrivais au moment où elle sortait rejoindre des amies, je l’ai même aperçue avec une paire de bottes hautes, celles qui arrivent à mi cuisse… J’ai senti mon cœur bondir dans ma poitrine.



Lorsque j’étais seul allongé dans le lit d’ami, chez eux, je ne pouvais m’empêcher d’imaginer mes mains sur ses formes de cuir. Je jouissais en silence, dans mon boxer ou dans une paire de chaussette, avant de m’endormir et souvent au réveil. Ce soir là après un repas qu’elle nous avait préparé en balançant doucement sur une musique rock dont elle avait le secret, je n’avais pas fait exception. C’est au réveil lorsque je gagnais la salle de bain pour aller me débarbouiller que je tombais nez à nez avec un bustier à elle, posé sur une pile de serviettes. Interdit, je fermais la porte derrière moi pour le saisir et en réflexe, immédiatement le porter à mon nez. Ma queue tendait déjà dans mon boxer, tandis que sentais un mélange de son parfum et du cuir. J’avais l’image très nette de ses seins moulés dans ce vêtement, et je me branlais frénétiquement en le frottant tantôt sur mon boxer, tantôt sur mon nez, j’aurais voulu absorber son odeur jusque dans mes cellules, ou les moindres recoins de mon esprit, à tout jamais.


- Fred !


Je n’eus même pas le temps de sursauter que la porte s’était déjà ouverte sur moi, Nicolas restant un peu hébété de la scène qu’il découvrait. Moi, devenu écarlate, jetant le bustier dans la baignoire et ma queue tendue dans mon sous-vêtement.


- Hum. Pardon !


Dit-il dans un léger rire qui me gêna encore plus. Le con !


- J’ai presque fini ! Balbutiais-je .


Quoi dire de plus quand on est pris sur le fait, en pleine montée de sève… Étrangement, il se mit à rire pour détendre l’atmosphère et referma la porte derrière nous, et sur un ton badin, se voulu rassurant.


- Ça va, je comprends ...


Il comprenait. Que comprenait-il ? Que je m’astiquais en secret sur les fringues de sa mère ? Ou s’imaginait-il que j’étais une animal que le cuir excitait trop fort pour y résister même chez les autres ? Je toussotait de honte tandis qu’il prit un ton confidentiel pour murmurer quelque chose que seuls les vrais amis peuvent se dire.


-Moi aussi, je le fais.


Je restais silencieux en regardant ailleurs et en faisant mine de chercher ma brosse à dent.


- Sérieux, c’est rien. Je vais même te dire mieux, je le fais avec un petit plus.


Immédiatement, je rétorquais :


-Quoi ?

-Ben, un truc en plus. Pour que ça soit meilleur.


Un truc en plus… Mon imagination confuse s’emballait. Quoi, Nico se mettait un doigt dans le cul en se frottant aux bustiers en cuir de sa mère ? Il s’enregistrait, il léchait … ? Mon ami mit heureusement fin à ma digression mentale en précisant sa pensée.


- Je prends un coussin. Tu vois, je sors un pantalon du placard, je glisse un coussin dedans, et je frotte… Jusqu’à jouir. C’est meilleur avec un truc doux. Un short de pyjama en satin, ou un truc en nylon…

- Tu déconnes.


Je l’envoyais bouler en le poussant d’une main pour qu’il arrête de se moquer de moi et surtout, surtout pour changer de sujet en brossant mes dents.


- Nooon, je te jure. Essaie pour voir… Tu me remercieras.


Cette dernière phrase, si courte fut-elle, eut un impact considérable sur mon imaginaire. Je le remercierai… Nico se frottait aux fringues de sa sexy de mère, et non content de ne pas vraiment en avoir honte avec moi, me donnait son astuce magique pour se dégorger le poireau plus efficacement. Je le regardais du coin de l’œil, mi figue mi raisin tout en faisant mine de brosser consciencieusement mes dents,


Etait-ce une façon de s’excuser de m’avoir surpris ? Toujours est-il que la semaine suivante, après avoir discrètement subtilisé un pantalon dans le placard de sa mère, je le ramenais en secret dans mon lit et je le garnissais pour venir m’y frotter en imaginant la chatte toute excitée qui le remplissait habituellement… Une sensation incroyable d’extase monta à l’idée de ce cul moulant ce pantalon de cuir, et je tournais et retournais mon édredon improvisé sous moi comme un beau diable, haletant de plaisir. Je ne vous fais pas un dessin… Je me fis lamentablement surprendre par sa mère qui cherchait son pantalon pour sortir… Elle poussa un soupir mi colérique mi lasse en le trouvant dans mon lit, souillé d’un sperme clair. Là, je compris que c’était ma dernière nuit chez eux.


- Bordel. Les ados n’ont-ils que ça en tête ? Mon pantalon en cuir, tu l’as tout salopé !


Je me tassais au fond de la couette, déjà mort de honte, tandis qu’elle me tirait par un pied et qu’elle récupérait son pantalon. Je m’attendais à une gifle, et elle me la colla sans une once d’hésitation.


- Tu vas payer le teinturier, espèce de petit porc !


La main sur la joue, mortifié, bredouillant des excuses, je parvins quand même à remarquer l’incroyable gloss qui lissait ses lèvres. J’aurais pu rebander direct si elle n’avait pas l’air si peu surprise et fâchée à la fois.


- Tu sais combien ça coûte un pantalon pareil ?!

- Non.. P.. Pardon madame.. Je suis désolé, je n’ai pas d’ar…

- Je m’en contrefous. Qu’est-ce que je vais mette sur mon cul moi ce soir ?!


Elle inspira, contrariée, puis le silence se fit. Elle semblait rassembler ses idées en me jaugeant d’un air sévère. Je compris qu’elle avait déjà surpris son fils s’amuser à « frotte frotte » sur ses effets personnels… Quelle situation honteuse !


- Tu vas me le payer, petit obsédé. Ah tu veux cracher ton sperme hein ? Je vais te le faire cracher moi. Tu n’es plus un gosse, tu dois assumer tes erreurs.


Tandis qu’elle me tirait du lit par la main, elle releva un peu son peignoir et dévoila une chatte A-BSO-LU-MENT parfaite, qu’elle me colla littéralement sur la face en rugissant des insultes. J’étais devenu en un clin d’oeil le petit con, l’esclave à chatte, l’enfoiré pré-pubère et autres joyeusetés dont elle semblait avoir naturellement l’inspiration. Elle ; si douce, si calme habituellement était devenue une créature furieuse et prête à tout pour me faire payer ma dette.


- Lèche mieux que ça !


C’était la première fois que j’approchais une chatte de si près. Et c’était complètement à la hauteur de mon imagination. J’étais sous le choc et complètement possédé par la situation à la fois.


- Bien, tu vas m’accompagner demain au lieu d’aller en cours. Tu trouves une excuses, tu te débrouilles, mais tu me rejoins devant le lycée à 10h.


Elle me repoussa d’un air strict et disparut, son pantalon à la main, me laissant hébété et fait comme un rat. Inutile de préciser que je ne fermais pas l’œil de la nuit, et que je ne me présentais pas le lendemain matin en cours non plus. J’attendais penaud à 10h à côté de l’entrée principale. Tous les élèves étaient déjà rentrés et elle apparut au coin de la rue. Elle posa directement son sac à main dans mes bras, et m’ordonna de la suivre. Je m’exécutais en lui servant du «  oui Madame » et toute la matinée je la suivais comme un papillon suit une effluve de fleur, l’odeur et le goût de sa chatte encore en moi. Elle se servit de moi pour porter les sacs durant son shopping, et m’humilia en m’obligeant à me frotter à tous les vêtements en cuir qu’elle trouvait une fois le rideau de la cabine fermé. Je me sentais ridicule d’être si excité à chaque fois qu’elle me tendait un pantalon et s’asseyait en face de moi en m’épiant, pour me faire faire « frotte frotte » sous ses yeux.


- Je t’interdis de jouir.


Avait-elle précisé. Évidemment, je me retenais avec difficulté, mais je n’avais pas les moyens d’expliquer aux vendeurs que j’avais éjaculé sur leurs vêtements… Je m’abstenais donc, tout en sentant mon sperme s’accumuler au fil de la matinée. Vers midi, elle me ramena chez elle et m’intima de me mettre nu et de m’asseoir sur le canapé du salon. Nico était bien évidemment en cours, et elle semblait ne pas en avoir terminé avec moi.


- Tu vas te frotter à tout ce que je te donne, Frottman. Puisque ça te tiens tellement à cœur.


Et elle me tendit un bustier. Le fameux. Couleur écrevisse, je m’exécutait, frottant ma queue gonflée et endolorie à force de sollicitations à son délicieux petit vêtement. Elle ne manquait pas de me reprendre à chaque fois que je faiblissais d’un très ferme : Frotte !

Et lorsque je n’en put plus, larmoyant, transpirant, haletant, elle releva sa jupe pour se caresser sous mes yeux en m’ordonnant de cracher mon sperme dans un petit pot de verre qu’elle tendit vers ma queue, non sans me traiter de sale petit porc. Ses lèvres glossées sévères, sa main libre tenant mes cheveux, elle m’acheva.


- Allez sale petit porc, crache ton jus maintenant ! Tu as été bien obéissant ! J’espère que ça t’apprendra à te frotter à tout ce qui bouge !


Je jouis dans un râle de souffrance et de plaisir, presque dans un sanglot, libérant enfin le flot de foutre que j’avais accumulé au fil de la matinée dans son récipient. J’observais son air satisfait, les formes incroyables que le cuir sublimaient. J’étais vidé. Vidé et heureux. Prêt à retourner dans son placard à la moindre occasion…


Fin

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