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Le Dog Training initiatique - Part 2 (fin)


- La prochaine fois que tu te présenteras à moi, j’exige que tu portes un rosebud à queue en fourrure. Tu entends ? Lui dis-je, sévère. J’aimais cruellement les détails. - Pour te souvenir quel clébard tu es. En attendant, viens mettre ta muselière. Je lui passais un bâillon gag-ball coiffé d’une large muselière de cuir et lui ordonnais de se coucher sur le lit où j’avais disposé des alèses noires. Là, j’attachais ses membres avec des cordes de jutes, comme une prise de chasse, et je le suspendais légèrement à mon mât de bambou. Les quatre fers en l’air. Dans une position qui ne me laissait rien ignorer de son anatomie. - Je t’interdis de jouir. La moindre goutte de foutre m’appartient. Si tu gaspilles, je te bats au sang. J’avais envie de jouer avec ses nerfs. Ainsi, sous la menace de ma badine je le chatouillais un peu… Le branlant . Lubrifiant sa queue… Je le fessais sans dissimuler mon plaisir et relevais un peu ma jupe. Je n’avais rien mis dessous. - Quelle belle chienne tu fais vu d’ici… Alors comme cela… Tu es assez intrépide pour contacter une Maîtresse Professionnelle … Je l’enjambais, lui laissant entrevoir ma chatte épilée sous ma jupe. - Lui faire ta liste d’envies… Comme on fait une liste de courses... Je m’accroupissais sur son visage, l’écrasant de mon sexe, qu’il ne pouvait lécher dans sa muselière. - Et lui demander si elle est à la hauteur?! Dis-je avec mépris et colère. - Misérable Roquet! Comment oses-tu… Tu n’es bon qu’à sentir des culs, n’oublies jamais cela! Lui criais-je, furieuse. Ma colère, si je savais la mettre de côté pour le moment opportun ne dormait que rarement. Je n’oubliais jamais les erreurs commises par mes visiteurs. Sans quoi pour quelles raisons les punirais-je? Pour le plaisir...? Oui. J’étais capable de punir un homme juste pour mon plaisir. Et au vu de ses yeux larmoyants lorsque je me frottais à sa muselière, le jeune roquet retiendrait sa leçon. - Orgueilleux clébard ! Je t’interdis de bander lorsque je te corrige. Je lui assénais une gifle monumentale pour son audace. Et me relevais. Les deux jambes bien plantées au dessus de son visage. D’un geste vif, je lui tournais la tête pour lui ôter son bâillon. Je m’assis littéralement sur lui, écartant bien mes fesses pour lui rappeler sa position. Un misérable petit renifleur de culs. Je pris beaucoup de plaisir à lui infliger cette humiliation. Je jurais l’avoir entendu pleurer. Lorsque j’en eus assez, je le détachais sans même lui jeter un regard. Je défis mon chignon, dévoilant ma longue chevelure. Et lui ordonnais d’ouvrir la bouche. - Donne ta gueule. Je vis ses yeux me supplier de ne pas le faire, et s’agrandir un peu. Mais sitôt sa bouche ouverte, je m’accroupis au dessus pour la lui remplir d’un chaud et doux nectar doré, la pisse qu’un clébard de son espèce recherchait lors de ses errances de jeune roquet, ses promenades… Je me soulageais dans un soupir de bien être. Là. Celui-ci ne m’aborderait plus comme le roi du pétrole… Il saurait rester à sa place. Je lui ordonnais de s’essuyer avec une serviette que je lui balançais au visage, il rentrerait chez lui sans se laver. J’enfilais un gode ceinture de taille raisonnable, et lui lubrifiais le cul. Lui murmurant à l’oreille que maintenant qu’il avait été baptisé, il pouvait recevoir sa pastille… Je l’enculais brièvement mais profondément, non sans râler un peu de ce plaisir tout personnel … Après quelques minutes de coups de butoir, je le libérais de mes longs ongles froissant son épaule… Il se rhabilla sans un mot, honteux et se mit à quatre pattes à mes pieds comme je le lui avais appris pour que je lui ôte son collier à grelot… Je pinçais ses joues dans ma main qu’il avait presque encore poupines, le regardant dans les yeux. Il ne les détourna pas cette fois, tremblant un peu. J’aurais pu lui dire que je savais qu’il avait menti sur son âge et son expérience, qui me semblait plus théorique que réelle.. Mais je me contentais d’un : - Good dog . Silencieusement admiratif. Il avait été courageux, quoi que peut-être stupide de me provoquer… Je lui ordonnais de déguerpir. Il reviendrait. Les chiens bien dressés revenaient toujours à leurs Maîtresses…

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